vendredi 28 février 2020

Elections municipales à Vierzon

La liste

« LUTTE OUVRIÈRE – FAIRE ENTENDRE LE CAMP DES TRAVAILLEURS »

aux élections municipales de Vierzon



                            
                   est conduite par

                 Régis ROBIN

                 Enseignant retraité



 
RÉUNION PUBLIQUE

de la liste 

« Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs »
aux élections municipales de Vierzon

MERCREDI 11 MARS à 18H
Salle 4 du marché au Blé

Régis Robin présentera les thèmes de campagne
de la liste Lutte ouvrière
R

mardi 25 février 2020

AUX MUNICIPALES : DIRE SA RÉVOLTE CONTRE LA POLITIQUE DE MACRON ET LE CAPITALISME !

Le gouvernement s’apprête à utiliser l’article 49.3 de la Constitution pour imposer la retraite par points sans vote au Parlement. Avec plus de 300 députés LREM à l’Assemblée, il est pourtant sûr d’avoir la majorité. Il est simplement pressé d’en finir au plus vite avec une réforme qui a mis des centaines de milliers de travailleurs en grève et qui ne passe pas dans le monde ouvrier.

Quels que soient ses discours sur la nouvelle façon de faire de la politique, Macron préfère les bonnes vieilles méthodes autoritaires ! Pour lui, comme pour ses députés, prêts à voter cette loi des deux mains, seuls comptent les intérêts des plus riches de ce pays. L’âge de la retraite sera repoussé et les pensions seront diminuées parce que le grand patronat veut payer de moins en moins.

La Macronie risque de le payer politiquement cher et très vite puisque les élections municipales auront lieu le 15 mars.

Dans les grandes villes, les municipales sont des élections politiques dans le sens où l’on vote d’abord pour un parti. Bien des travailleurs souhaitent rejeter les candidats de Macron sans avoir à voter pour d’autres politiciens qui ne valent pas mieux. C’est pourquoi Lutte ouvrière présente ses propres listes dans la mesure de ses forces. Nous sommes loin de couvrir toutes les villes, mais LO sera présente dans près de 240 communes.

Nos candidates et candidats sont des ouvriers, des employés, des cheminots, des manutentionnaires, des techniciens, des caissières, des auxiliaires de vie, des agents d’entretien, des hospitaliers, des enseignants… en activité, au chômage ou à la retraite. Ils se présentent tous sous un seul et même drapeau, le camp des travailleurs, car les salariés ont à se rassembler et à défendre leurs intérêts non seulement là où ils travaillent mais aussi, là où ils vivent.

Si la lutte de classe se déroule d’abord au sein des entreprises entre le grand patronat et les salariés, elle se poursuit au-dehors, entre propriétaires et locataires, entre banquiers et clients, entre multinationales de l’eau, du gaz, de l’électricité et usagers… Et, bien sûr, entre le monde ouvrier, et le gouvernement et l’État bourgeois.

La lutte de classe de la bourgeoisie creuse le fossé entre riches et pauvres. Elle condamne la jeunesse ouvrière à la précarité et à la misère et livre les quartiers populaires aux incivilités, à la délinquance ou aux trafics en tout genre qui pourrissent au quotidien la vie de millions de travailleurs. C’est ainsi qu’au fil des années, des cités ouvrières se sont transformées en ghettos de pauvres.

Il est impossible de changer les choses petit bout par petit bout à l’échelle d’une municipalité. Il s’agit d’un combat général qui oppose le camp des travailleurs à une poignée de multimillionnaires.

Même avec la meilleure volonté du monde, aucun maire ne peut, à lui seul, compenser les dégâts engendrés par la société capitaliste. La cantine gratuite, la santé ou les transports publics plus accessibles, les aides qu’une municipalité peut déployer pour la prise en charge des personnes handicapées, des anciens ou des personnes isolées sont utiles et même vitales pour beaucoup. Mais cela ne peut empêcher les ravages engendrés par la fermeture d’une usine, par les licenciements, le chômage, les bas salaires, les horaires de travail infernaux, les cadences qui usent et tuent.

Aucune équipe municipale ne peut nous protéger de la crise économique qui peut s’aggraver du jour au lendemain et menace tout l’édifice de s’écrouler. Elle ne peut pas nous protéger d’un système fou qui détruit la planète à petit feu et plonge des millions de femmes et d’hommes dans des guerres infâmes.

Alors, contrairement aux autres candidats, ceux de Lutte ouvrière ne feront pas de promesses électoralistes. Ils diront que les travailleurs n’obtiendront rien d’essentiel sans imposer un certain rapport de force avec la classe capitaliste qui exerce une dictature sur la société. Dans leur lutte contre la bourgeoisie, les travailleurs sont capables d’aller encore plus loin, puisqu’ils peuvent exproprier la classe capitaliste et prendre eux-mêmes le pouvoir.

Si des candidats de Lutte ouvrière sont élus, ils seront du côté des salariés en grève contre leurs patrons, du côté des locataires menacés d’expulsion… Et surtout, ils œuvreront auprès des travailleurs pour qu’ils prennent conscience qu’il leur appartient de changer le monde.

Avec les candidats de Lutte ouvrière, rejetez les notables et les politiciens et placez-vous dans le camp des travailleurs conscients et combatifs. Affirmez que vous ne vous résignez ni à l’exploitation, ni au capitalisme ! 
Le 24 février 2020

jeudi 20 février 2020

Lutte ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs




article du Berry Républicain du 20-02-2020

(clic sur l'image)

lundi 17 février 2020

Dans la rue et aux municipales, il faut faire entendre le camp des travailleurs

L’examen du projet de loi sur les retraites a commencé ce lundi à l’Assemblée nationale. Une journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles est prévue jeudi 20 février, et c’est une bonne chose.

Le gouvernement dispose des moyens législatifs pour imposer cette réforme, mais il faut montrer que cette attaque ne passe pas et ne passera jamais dans la tête de millions de travailleurs. Il faut continuer d’affirmer notre rejet de ce gouvernement, à genoux devant le grand capital.

L’offensive contre le monde du travail ne se limite pas au saccage des retraites. Elle met en cause les conditions de travail et de vie de toutes les classes populaires. L’exploitation, la course à la rentabilité et la loi du profit rendent le travail de plus en plus dur, de plus en plus précaire et mal payé. Mais elles s’imposent aussi à tous les autres domaines de la vie sociale, à la santé, à l’éducation, aux transports ou au logement.

Nombre de quartiers ouvriers abandonnés par l’État sont transformés en ghettos de pauvres, où la misère, le désœuvrement et l’absence de perspectives favorisent les incivilités, les trafics et les violences en tout genre. Renouer avec les luttes collectives, se faire respecter du grand patronat et du gouvernement est la seule voie pour inverser la situation et assurer un avenir au monde ouvrier, à la jeunesse et à toute la société.

Alors, tant que nous en avons la force, il faut continuer dans la voie indiquée par ceux qui ont participé à ce grand mouvement contre les retraites : l’affirmation d’un camp uni derrière ses intérêts de classe.

C’est d’autant plus important que Macron veut lancer, mardi, une vaste campagne de diversion en pointant du doigt les dangers de ce qu’il appelle le « communautarisme » ou le « séparatisme ». Il vise, exactement comme Le Pen, et comme le grand patronat sait le faire dans les entreprises, à diviser les exploités pour les opposer les uns aux autres. Il ne faut pas que les travailleurs tombent dans ce piège.

La force des travailleurs réside dans leur nombre et dans leur conscience de faire partie d’un seul et même camp partageant la même révolte et la même volonté de changer les choses. Elle est dans la solidarité et la fraternité qui se tissent au travers de la lutte, au-delà des différences de corporations, de statuts, d’origines, de croyances et de couleurs de peau.

Cette conscience a progressé dans le mouvement de contestation de la réforme des retraites. Il faut la préserver et la développer dans toutes les entreprises où se mène la lutte de classe. Et il faut aussi le faire politiquement. C’est pourquoi Lutte ouvrière participe aux élections municipales.

Lutte ouvrière sera présente dans quelque 200 villes. Ses candidats sont des ouvriers, des employés, des cheminots, des manutentionnaires, des techniciens, des caissières, des agents d’entretien, des hospitaliers, des enseignants… Qu’ils et elles soient en activité, au chômage ou à la retraite, ils partagent la vie, les difficultés et les combats des travailleurs.

Toutes les listes, du Rassemblement national à celles de La France insoumise en passant par celles de la majorité, multiplient les engagements à faire plus de social, plus de démocratie, plus d’écologie, plus de logements, plus de sécurité, à l’échelle de la ville… Mais aucune de ces listes ne peut prétendre éliminer le chômage, la misère ou la crise ! Aucune équipe municipale ne peut éradiquer le racisme, les discriminations et le délitement de la société que la misère engendre.

Alors, à la différence d’autres candidats, ceux de Lutte ouvrière ne feront pas croire qu’ils pourraient changer la vie des habitants en se hissant à la tête d’une municipalité. Ils affirmeront, en revanche, que les travailleurs ont la capacité collective de changer leur sort, s’ils se battent pour libérer la société du diktat d’une minorité capitaliste aussi parasite qu’irresponsable.

En votant Lutte ouvrière, les habitants de ces 200 villes pourront dire qu’ils ne font pas confiance aux notables et aux politiciens mais qu’ils se placent dans le camp des travailleurs conscients et combatifs.

Ils affirmeront qu’ils refusent de se résigner à la condition d’exploités. Ils diront que, pour enrayer les catastrophes sociale, économique et écologique, il faut arracher à la bourgeoisie son contrôle sur les entreprises et sur la vie politique. 
Le 17-02-2020
Rassemblement à Vierzon 


Jeudi 20 février - 10h30 - Forum République
 

mardi 11 février 2020

Lutte ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs



 Régis Robin est candidat sur la liste
 "Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs" 
à Vierzon

article du Berry Républicain du 6 février 2020 


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lundi 10 février 2020

Elections municipales : faire entendre le camp des travailleurs

Le 15 mars, aura lieu le premier tour des élections municipales. Dans les petites communes, les candidats sont le plus souvent des personnes dévouées à la collectivité, prêtes à donner de leur temps et de leur énergie pour tenter de résoudre mille et un problèmes dans l’intérêt général. Les maires sont en outre proches de la population. Dans les villes importantes, c’est une autre affaire, car la mairie dispose de toute une administration et elle est un enjeu pour des notables. Il s’agit alors moins de dévouement que de pouvoir.

Bien des politiciens ont utilisé leur mandat de maire comme un tremplin. Les députés macronistes l’ont d’ailleurs compris : redoutant d’être délogés du pouvoir dans deux ans, nombre d’entre eux se présentent aux municipales pour préserver leur carrière. Édouard Philippe, Gérald Darmanin et quelques autres ministres font ce calcul : tout en restant au gouvernement, ils sont candidats pour se ménager un avenir. Le PS et la droite, après avoir été sèchement écartés du pouvoir en 2017, aimeraient retrouver enfin des couleurs.

Quant au Rassemblement national, dans les quelques communes qu’il dirige depuis 2014, il a montré ce qu’il était. Il a pris des arrêtés antimendicité ou a supprimé la gratuité de la cantine scolaire pour les enfants des familles les plus pauvres, et a même essayé d’expulser une association d’entraide comme le Secours populaire de ses locaux. Et il continue à diviser les travailleurs selon leur origine ou leur religion. Le parti lepéniste revendique de gérer les communes, en espérant, demain, pouvoir gérer le pays. En fait, tout autant que les autres partis, il aspire à aller à la soupe gouvernementale pour servir les riches. Pour tous ces gens-là, les élections municipales sont un enjeu politicien.

Les travailleurs conscients de leurs intérêts ne peuvent voter pour une liste lepéniste, ni macroniste bien sûr. Ce n’est cependant pas dans les urnes qu’ils pourront mettre en échec la politique antiouvrière de Macron et de son gouvernement, mais dans les grèves de masse et les manifestations. La mobilisation contre la réforme des retraites se poursuit. Comme l’ont montré les manifestations de la semaine dernière, cette bataille n’est pas finie.

Les élections peuvent permettre au moins de se compter et de faire entendre le camp des travailleurs. C’est pourquoi Lutte ouvrière, à défaut de pouvoir être partout, présente des listes dans un certain nombre de villes.

Nos candidates et nos candidats ne sont pas des politiciens ni des notables. Ils affirment fièrement leurs idées communistes et révolutionnaires. Ce sont des ouvriers, des employés, des manutentionnaires, des techniciens, des caissières, des agents d’entretien, des hospitaliers et des enseignants. Ils partagent la vie et les difficultés des travailleurs. Ils sont engagés dans le combat contre la réforme des retraites et contre toutes les attaques dont les travailleurs font l’objet.

Ils ne disent pas : « Votez pour nous et les choses changeront ». Il n’est pas possible, à l’échelle d’une commune, de changer réellement la vie des travailleurs. Le pouvoir appartient aux capitalistes et à l’État. Les communes populaires, en particulier, sont prises en étau entre les besoins criants et le manque de moyens pour y faire face. En revanche, une commune dirigée par des révolutionnaires pourrait être un point d’appui pour organiser, avec les travailleurs, leurs combats : contre des licenciements, pour soutenir des grèves, contre les expulsions locatives ou encore pour la réquisition de logements vides. Une telle municipalité mettrait ses moyens matériels à la disposition de ceux qui luttent. Elle chercherait à instaurer localement une démocratie ouvrière, en associant à ses décisions les travailleurs, leurs syndicats et leurs associations.

Et même en minorité dans un conseil municipal, des élus de Lutte ouvrière pourraient être les yeux et les oreilles des classes populaires. Ils se feraient les porte-parole de leurs intérêts contre ceux des riches. Ils dénonceraient les promoteurs immobiliers et les capitalistes qui vivent aux crochets de la collectivité, et les notables qui les arrosent.

Alors, le 15 mars prochain, en votant pour les listes de Lutte ouvrière, les travailleurs conscients de leurs intérêts pourront se faire entendre. Avant comme après cette échéance, il faudra poursuivre la lutte, car l’offensive de Macron et Philippe, ces pantins qui gouvernent au profit du grand capital, ne s’arrêtera pas avec les municipales. 
 
Le 10 février 2020

lundi 3 février 2020

Contre la politique de Macron et du grand patronat, le combat continue !

Avec la réforme des retraites, la détestation de Macron et de son gouvernement s’est encore accrue dans les classes populaires. Ce n’est que justice, et les derniers forfaits des ministres et députés macronistes ne vont rien arranger. Vendredi dernier, la ministre Pénicaud a combattu au Parlement une proposition de loi visant à prolonger de cinq à douze le nombre de jours de congé pour les parents venant de perdre un enfant. Le tout, au nom des intérêts des entreprises. Devant l’indignation générale, et après que même le Medef a trouvé que c’était un peu gros, le gouvernement a fait machine arrière. Mais l’épisode montre, s’il en était besoin, que ces gens-là ont un portefeuille à la place du cœur.

Leur mesquinerie est à l’image de celle des capitalistes qu’ils servent. Michelin, par exemple, qui ferme une usine à la Roche-sur-Yon en Vendée, demandait aux 600 salariés qu’elle licencie de rembourser ou de rendre les pneus auxquels ils avaient droit à prix réduit…. En 2018, Michelin a fait 1,68 milliard d’euros de profits, soit quelques millions de pneus. Mais il n’y en a jamais assez pour les actionnaires ! Michelin a aussi dû faire machine arrière, sans doute parce qu’elle a estimé que cela pouvait lui coûter plus cher en image de marque qu’en pneus…

On nous parle de baisse du chômage, mais la réalité est que les capitalistes enchainent les plans de licenciements. Mi-janvier, Auchan annonçait 517 suppressions d’emplois. Cora menace maintenant 1 077 salariés de licenciement, au motif qu’ils ont refusé un changement de leur contrat de travail. Cora a déjà supprimé 8 000 emplois en dix ans, et continue de faire des profits.

Quant au gouvernement, après la réforme des retraites, il prépare d’autres mesures aussi révoltantes, comme la baisse ou la suppression des APL pour des centaines de milliers de familles ou l’ouverture des commerces alimentaires jusqu’à minuit, au mépris de la vie de leurs salariés.

Tous les jours, gouvernement et patronat alimentent la colère. Alors que la SNCF se plaint d’avoir perdu de l’argent, elle récompense financièrement les non-grévistes ! La RATP, quant à elle, sanctionne des grévistes. Même des lycéens opposés à la réforme du bac se retrouvent sanctionnés par des proviseurs aux ordres des rectorats.

Les directions peuvent recourir à la répression, les grévistes ne sont pas vaincus. D’autres secteurs sont en lutte, comme celui des incinérateurs en Ile-de-France, où une partie du personnel est réquisitionné. Les avocats et les professions libérales étaient en grève lundi 3 février. Les hôpitaux le seront de nouveau le 14, afin de revendiquer les moyens qui leur manquent cruellement pour soigner correctement les patients. Et ce jeudi 6 février, une nouvelle journée de grève interprofessionnelle et de manifestations est prévue.

Nombre de politiciens, grands et petits, sont en campagne pour les élections municipales de mars, à l’exemple d’Édouard Philippe qui espère se refaire une santé au Havre. Bien des travailleurs voudront utiliser ces élections pour sanctionner le gouvernement, même si elles ne peuvent mettre un coup d’arrêt aux attaques contre les classes populaires. Elles peuvent permettre cependant de s’exprimer clairement contre la politique du gouvernement et des capitalistes. Il faut faire entendre la colère qui s’est manifestée ces dernières semaines. C’est dans cette perspective que Lutte ouvrière présente de nombreuses listes.

Nos candidats ne sont pas des politiciens ou des notables. Ce sont des ouvriers, des employés, des techniciens, des manutentionnaires, des membres du personnel hospitalier ou des enseignants. Ils et elles ont été engagés depuis le 5 décembre dans la mobilisation contre la réforme des retraites. Ils se présentent pour s’opposer non seulement à Macron, mais au-delà, au pouvoir sans limite des capitalistes. Ils ne se présentent pas comme de meilleurs gestionnaires de la commune. Ils disent que les communes devraient être des points d’appui pour les luttes des travailleurs. Ils mènent dans ces élections le même combat que dans les entreprises, dans les grèves et les manifestations.

Cette mobilisation contre la réforme des retraites a été salutaire. Pour faire reculer le gouvernement, les travailleurs n’ont d’autre choix que la lutte de classe. Et celle-ci se poursuit. Cette bataille sur les retraites n’est pas finie. La guerre continue. 
Le 3 février 2020
Rassemblement à Vierzon 
Jeudi 6 février - 10h30 - Forum République