Alors que de nombreux candidats, qu’ils soient dans la majorité ou dans l’opposition, cachent leur appartenance politique, Lutte ouvrière présente des listes dans 240 villes sous le même drapeau, celui du camp des travailleurs.
Ces listes sont à l’image de celles et ceux qui travaillent et vivent dans la ville : ouvriers de l’automobile à Montbéliard, Valenciennes ou Poissy; ouvriers et employés de la chimie dans la région lyonnaise ; ouvriers de l’aéronautique dans l’agglomération toulousaine… et partout, des cheminots, des conducteurs de bus, des aides à domicile, des agents de sécurité et d’entretien, des infirmières et des aides-soignantes, des enseignants, des caissières, des employés de banque et d’assurances…
Ce sont, à l’échelle nationale, des travailleuses et travailleurs qui ont en commun de partager les difficultés des classes populaires et la même révolte contre le grand patronat. Ensemble, ils font la démonstration que les travailleurs n’ont pas besoin de porte-parole, de notables, d’avocats et encore moins de chefs ou de directeurs pour être représentés.
Loin de tout carriérisme et clientélisme, ils portent les intérêts généraux des travailleurs. Ils ne font pas l’habituel catalogue de promesses aussi démagogiques que mensongères. Leur programme se résume en une phrase : être du côté des exploités et des plus pauvres contre les riches, en toutes circonstances. Être de tous les combats pour faire respecter les droits et les intérêts des travailleurs dans les entreprises et dans les communes où ils vivent.
À l’échelle d’une municipalité, il y a bien des choses à faire, car les intérêts des plus riches, ceux des promoteurs, des propriétaires, des banques et des grandes entreprises passent avant ceux des travailleurs et des plus pauvres.
C’est ce que dénoncent les associations et collectifs qui se battent contre les expulsions locatives et le mal-logement, contre les expulsions de sans-papiers, contre les fermetures de bureaux de poste ou de classes, le harcèlement de la police et les contrôles au faciès… Jusqu’aux collectifs d’habitants qui se battent contre des factures d’eau indues ou pour que les bailleurs réparent des ascenseurs parfois en panne pendant des semaines.
Pour les travailleurs, rien ne tombe jamais du ciel. Du grand patronat et du gouvernement, ils n’ont à attendre que de nouveaux coups, mais pour s’en protéger, ils ne peuvent pas vraiment compter sur les municipalités. Ce n’est pas qu’elles soient toutes vendues aux plus riches, même si certaines le sont. C’est surtout que les municipalités sont de plus en plus étranglées financièrement car l’État ne peut pas arroser la bourgeoisie de milliards d’euros et trouver aussi l’argent nécessaire aux collectivités, aux hôpitaux ou à l’éducation.
Le maire se retrouve dans la situation de répartir la misère alors qu’avec la crise, les besoins sont de plus en plus importants. Et les travailleurs sont amenés à prendre eux-mêmes de plus en plus de choses en mains, comme ces mères qui s’organisent dans les cités populaires pour que leurs enfants ne tombent pas dans l’engrenage de la loi des bandes ou des trafiquants. Pour interdire la circulation de la drogue et chasser les dealers, elles sont d’ailleurs bien plus efficaces que les cowboys armés jusqu’aux dents envoyés par l’État !
Une municipalité LO encouragerait et participerait à ces initiatives. Elle impulserait d’autres combats afin d’arracher l’argent nécessaire pour la santé, l’emploi, le logement, la culture… Elle militerait pour que les travailleurs demandent des comptes au gouvernement et pour que le grand patronat paye. Car celui-ci est le premier responsable de la catastrophe économique, sociale, humanitaire et écologique dans laquelle nous nous enfonçons.
Une ville ne peut pas être une île paradisiaque dans un océan de chômage et de misère grandissante, et surtout pas dans cette période de crise où la rapacité de la bourgeoisie est décuplée. Les travailleurs doivent être conscients que le combat à mener est celui de changer la société.
En votant pour les listes « Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs », vous direz que les travailleurs ne doivent plus faire confiance aux politiciens dont le seul but est de servir la soupe aux bourgeois. Vous défendrez l’idée que la classe ouvrière doit s’unir et défendre ses intérêts face au grand patronat. Vous afficherez le rouge, la couleur des travailleurs qui relèvent la tête, la couleur des grèves, des révoltes et des révolutions parce qu’il en faut une pour mettre fin à la folie et la barbarie de la société capitaliste !
Ces listes sont à l’image de celles et ceux qui travaillent et vivent dans la ville : ouvriers de l’automobile à Montbéliard, Valenciennes ou Poissy; ouvriers et employés de la chimie dans la région lyonnaise ; ouvriers de l’aéronautique dans l’agglomération toulousaine… et partout, des cheminots, des conducteurs de bus, des aides à domicile, des agents de sécurité et d’entretien, des infirmières et des aides-soignantes, des enseignants, des caissières, des employés de banque et d’assurances…
Ce sont, à l’échelle nationale, des travailleuses et travailleurs qui ont en commun de partager les difficultés des classes populaires et la même révolte contre le grand patronat. Ensemble, ils font la démonstration que les travailleurs n’ont pas besoin de porte-parole, de notables, d’avocats et encore moins de chefs ou de directeurs pour être représentés.
Loin de tout carriérisme et clientélisme, ils portent les intérêts généraux des travailleurs. Ils ne font pas l’habituel catalogue de promesses aussi démagogiques que mensongères. Leur programme se résume en une phrase : être du côté des exploités et des plus pauvres contre les riches, en toutes circonstances. Être de tous les combats pour faire respecter les droits et les intérêts des travailleurs dans les entreprises et dans les communes où ils vivent.
À l’échelle d’une municipalité, il y a bien des choses à faire, car les intérêts des plus riches, ceux des promoteurs, des propriétaires, des banques et des grandes entreprises passent avant ceux des travailleurs et des plus pauvres.
C’est ce que dénoncent les associations et collectifs qui se battent contre les expulsions locatives et le mal-logement, contre les expulsions de sans-papiers, contre les fermetures de bureaux de poste ou de classes, le harcèlement de la police et les contrôles au faciès… Jusqu’aux collectifs d’habitants qui se battent contre des factures d’eau indues ou pour que les bailleurs réparent des ascenseurs parfois en panne pendant des semaines.
Pour les travailleurs, rien ne tombe jamais du ciel. Du grand patronat et du gouvernement, ils n’ont à attendre que de nouveaux coups, mais pour s’en protéger, ils ne peuvent pas vraiment compter sur les municipalités. Ce n’est pas qu’elles soient toutes vendues aux plus riches, même si certaines le sont. C’est surtout que les municipalités sont de plus en plus étranglées financièrement car l’État ne peut pas arroser la bourgeoisie de milliards d’euros et trouver aussi l’argent nécessaire aux collectivités, aux hôpitaux ou à l’éducation.
Le maire se retrouve dans la situation de répartir la misère alors qu’avec la crise, les besoins sont de plus en plus importants. Et les travailleurs sont amenés à prendre eux-mêmes de plus en plus de choses en mains, comme ces mères qui s’organisent dans les cités populaires pour que leurs enfants ne tombent pas dans l’engrenage de la loi des bandes ou des trafiquants. Pour interdire la circulation de la drogue et chasser les dealers, elles sont d’ailleurs bien plus efficaces que les cowboys armés jusqu’aux dents envoyés par l’État !
Une municipalité LO encouragerait et participerait à ces initiatives. Elle impulserait d’autres combats afin d’arracher l’argent nécessaire pour la santé, l’emploi, le logement, la culture… Elle militerait pour que les travailleurs demandent des comptes au gouvernement et pour que le grand patronat paye. Car celui-ci est le premier responsable de la catastrophe économique, sociale, humanitaire et écologique dans laquelle nous nous enfonçons.
Une ville ne peut pas être une île paradisiaque dans un océan de chômage et de misère grandissante, et surtout pas dans cette période de crise où la rapacité de la bourgeoisie est décuplée. Les travailleurs doivent être conscients que le combat à mener est celui de changer la société.
En votant pour les listes « Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs », vous direz que les travailleurs ne doivent plus faire confiance aux politiciens dont le seul but est de servir la soupe aux bourgeois. Vous défendrez l’idée que la classe ouvrière doit s’unir et défendre ses intérêts face au grand patronat. Vous afficherez le rouge, la couleur des travailleurs qui relèvent la tête, la couleur des grèves, des révoltes et des révolutions parce qu’il en faut une pour mettre fin à la folie et la barbarie de la société capitaliste !
Le 9 mars 2020
RÉUNION
PUBLIQUE
de
la liste
« Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs »
aux
élections municipales de Vierzon
MERCREDI
11 MARS à 18H
Salle
4 du marché au Blé
Régis
Robin présentera les thèmes de campagne
de
la liste Lutte ouvrière
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